Friday, December 31, 2010
Thursday, December 30, 2010
IFAD's Rural Poverty Report 2011
Hungry Planet Episode 1
Friday, December 24, 2010
Un niveau d’eau alarmant dans les réservoirs du pays
Read more here
Mozambique : 645 millions de dollars pour le secteur de l'irrigation
Cette décision a été prise lors d’une récente réunion du Conseil des ministres. Concernant le financement, 135 M USD sont déjà garantis mais les 510 M USD restants devront être collectés par le biais d'investissements privés et publics.
Le programme d'irrigation, qui débutera l'année prochaine, vise à améliorer la production et la productivité agricoles, garantir la sécurité alimentaire, créer des emplois et augmenter les revenus dans les régions rurales et urbaines.
Le système d'irrigation actuel ne couvre que 62 000 hectares sur l'ensemble des 33 millions d'hectares au Mozambique, et la mise en œuvre du programme permettra de changer cette situation.
"Seuls 2% de la zone productive du pays sont couverts par le système d'irrigation et les 98% qui restent dépendent des eaux pluviales", a précisé Alberto Nkuthumula, le porte-parole du gouvernement mozambicain, qui est également ministre de la Justice par intérim.
M. Nkuthumula a ajouté que la croissance déséquilibrée de la population et de la production agricole du pays a abouti à une pénurie alimentaire, qui a entraîné la hausse des prix et forcé le gouvernement à importer des produits pour équilibrer l'offre et la demande.
(Source : Chine Nouvelle / lexpress.mu of 24.12.10)
Monday, December 13, 2010
Agricultural Research and Extension / Development: The top 100 questions of importance to the future of global agriculture
The global population is estimated to reach 9 billion by the year 2050. In order to keep up with population growth and simultaneously prevent food prices from increasing considerably, the world will need to produce 70-100% more food in the next 50 years. The need to produce more food will be compounded by other challenges from climate change, water stresses, energy insecurity and dietary shifts. Global agriculture and food systems must change in order to overcome these myriad challenges and meet future food needs.
Through a year-long process of discussion, 55 agriculture and food experts from 23 different countries representing sectors including universities, UN agencies, CG research institutes, NGOs, private companies, foundations, and regional research organizations were brought together to identify the top 100 questions for the future of global food and agriculture.
Download the full paper including the 100 questions here.
Source: GFAR
Friday, December 10, 2010
MAISNET Member retained for an advanced training on blogs and Web 2.0 for development in Ghana
We are pleased (& proud) to announce that our MAISNET Member and Blog Contributor, Miss. Nawsheen Hosenally participated in the competition and got hold of the 1,500 Euros ... Well .. almost ..
In fact, she has been selected by the organisers to follow and 'Advanced training on blogs and Web 2.0 for development'. That's not all, she is also retained for another course on 'Challenges of youth in ARD using ICT''. Both programmes are scheduled for 2011 in Ghana over a total of 5 days (3 + 2).
Nawsheen is still a student at the Faculty of Agriculture (University of Mauritius) and such accomplishment is not only remarkable but also very promising. The exposure she will get will certainly help shape her career and personality.
Finally, it's worth noting how ICT is gaining momentum in disciplines such as Agriculture. From mobile technologies to Web 2.0, photography to media development, just name it... You will certainly recall that we advertised events and call for papers on ICT/Web 2.0. We shall keep you posted on new opportunities and may be there might be other success stories...
Training on Web 2.0 Content Management System at FARC for MAISNET Members
Thursday, December 9, 2010
Test - New programmes at the Faculty of Agriculture
test
Test: MAISNET Training
For more information, CLICK HERE!
Testing: New Agriculturalist: Country Profile - Mauritius
On the discovery of the island in 1598, the land was covered with dense vegetation with a variety of trees. These began to decline under the three successive colonisations by the Dutch (1638-1710), French (1715-1810) and the British (1810-1968). Large areas of forest were cleared to make room for agriculture when the Dutch Governor, Van der Stel, introduced various seeds and fruits to the island. Thus, vegetables, rice, indigo, tobacco and sugar cane were cultivated to feed the population and for export.
Tuesday, December 7, 2010
Demande en hausse pour les Banana Chips
This is an interesting news for people / institutions dealing in banana / fruit research and development ~Admin~
En onze ans, Maubon Foods, qui produit des banana chips pour l'exportation comme pour le marché local, a diversifié son marché d'exportation : outre la France, l'Italie et l'Allemagne, elle exporte également sur l'Afrique du sud et l'Asie. Parallèlement, la compagnie a développé de nouveaux emballages tout en améliorant la qualité de ses chips.
C'est à La Flora, dans un bâtiment en dur et à étage, que Maubon Foods produit les banana chips. Au rez-de-chaussée se trouve la salle de livraison de la matière première, la banane verte, en provenance de différentes régions de l'île. La banane est épluchée et lavée sur place avant d'être transférée dans une pièce à l'étage où elle est coupée en tranches, frite dans de l'huile végétale à température contrôlée, puis laissée à refroidir avant d'être mise dans des sachets de 40 et de 140 grammes. Les chips sont enfin mis dans des boîtes en carton à destination des marchés local et étranger.
Auparavant en plastique, le sachet est maintenant en aluminium, dans une boîte en plastique qui lui donne un nouveau cachet, plus pratique et moderne. Ce qui a plu aux consommateurs car les ventes de banana chips ont augmenté : de deux tonnes de bananes vertes par mois il y a dix ans, la production requiert neuf tonnes actuellement. " Cet emballage tient aussi le consommateur informé de la provenance du produit et de ses valeurs nutritives ", indique Ved Luchmun, directeur de Maubon Foods, dont le bureau se trouve à Rose-Belle et l'usine à La Flora. Celle-ci emploie 12 personnes actuellement contre quatre il y a quelques années. Outre le marché d'exportation, Maubon Foods vend également ses chips dans les boutiques hors taxe à l'aéroport de Plaisance.
Pour se développer et améliorer davantage la qualité de son produit, Maubon Foods a besoin d'espace. L'usine actuelle se trouve dans un vieux bâtiment qui ne lui convient plus. L'espace dans le bâtiment est restreint et M. Luchmun ne peut le rénover car il n'en est pas le propriétaire. La seule solution est la construction d'un nouveau bâtiment plus spacieux, avec de nouveaux équipements, pour permettre à Maubon Foods d'améliorer davantage la qualité de son produit, de satisfaire la grande demande à l'étranger et de créer de nouveaux emplois. Mais pour cela, il lui faut un terrain et il s'attend à ce que l'État, à qui il a fait la demande, lui offre une portion dans le sud de l'île. Ved Luchmun estime que jusqu'ici le développement n'a été fait que dans le centre et le nord de l'île. " La partie sud de l'île en souffre ; ce n'est que maintenant qu'on annonce la construction d'un barrage à Rivière des Anguilles ", fait-il remarquer.
Au niveau de la matière première, la banane verte, notre interlocuteur trouve que les Mauriciens n'apprécient pas assez l'importance de ce fruit dans leur espace alimentaire. " Nous ne la cultivons que pour la consommer mûre et un peu pour en faire du vindaye chez soi. Il est temps pour nos planteurs de se lancer dans cette culture à grande échelle en vue de fournir notre usine car il y a une très grande demande pour les banana chips à l'étranger. Nous avons donc besoin de grandes quantités de bananes vertes ", déclare le directeur de Maubon Foods. Il dit constater que de grandes superficies de terre, autrefois sous culture de canne à sucre, sont abandonnées par leurs propriétaires pour diverses raisons. " On peut les utiliser pour la culture de la banane. Je suis disposé à signer des contrats avec les planteurs pour leur assurer que j'achèterai leur production ", poursuit-il.
Outre la production de banana chips, Maubon Foods exporte aussi des légumes, dont des bred sonz, qui selon son directeur sont en grande demande en Europe, ainsi que du kari poule et du thym. Elle exporte divers autres légumes encore, à raison d'une tonne au minimum par semaine. " Nous avons une grande demande pour l'endive et nous cherchons actuellement des fournisseurs de ce légume mais aussi d'autres légumes ", indique Ved Luchmun.
Reproduced from lemauricien.com of 07.12.10
Wednesday, December 1, 2010
News of Agriculture from Seychelles: The Participation of the Seychelles Agricultural A...
To celebrate the world tourism day, the Seychelles Tourism Board organized a Tourism Expo 2010. The Expo 2010 was held from Monday 27th to Wednesday 29th September at the International Conference Centre of Seychelles under the theme Tourism and Biodiversity. The president, Mr. James Michel was the special invited guest and the exposition was officially launched by the CEO of STB Mr. Alain St.Ange.The Seychelles Agricultural Agency participated in the Tourism Expo 2010 with the aims of promoting traditional local crops and to showcase the diversity of local crops that were used by our grand- parents and that the youth of today does not know (eg pigeon pea). In adhering to the theme of tourism and biodiversity, the focus was on SAA’s fruit tree nursery from which some tourism establishments such as Ephelia Resort and Eden Island bought fruit trees to beautify and create an edible landscape. On display there were also a diversity of fruit and vegetable trees, spices and herbs, root crops, vegetables and fruits commonly used by the general public as well as by the tourism industry. Agricultural Research and Development, Agricultural Extension Services and the National Plant Protection Organisation exhibited posters showing the work done by the mentioned sections. Research and Development Section exhibited photos of screened varieties namely tomatoes, sweet peppers, lettuces etc. The Agricultural Extension Services displayed information relevant to the campaign of Every home a garden through posters and a live exhibition.The National Plant Protection Organisation had posters of the steps to be taken to obtain import certificates and had information on some invasive species such as whiteflies and fruit flies.
The Agricultural Development Strategy 2007-2011 provided the justification for SAA’s participation in the Tourism Expo 2010 as it states: The government through the ministry with portfolio responsibility for agriculture in collaboration with bilateral and multilateral partners would endeavour to promote improved crop varieties/ genetic resources through the use of land resources, local and introduced crop biodiversity/ genetic resources. It would further promote and support sound and environmental friendly cultural practices for edible landscaping. the Tourism Expo 2010 was a good opportunity for SAA to raise its profile vis-a-vis biodiversity and tourism in the eyes of the public.
Keywords: mauritius agriculture, mauritius agriculture news, mauritius news, mauritius food security, mauritius agricultural research, mauritius agricultural development, mauritius livestock, mauritius crop research, mauritius technology, mauritius tourism, maurice ile durable, mauritius renewable energy, mauritius agricultural information specialists network, maisnet, sadc, icart.
Tuesday, November 30, 2010
APEXHOM réfléchit sur l'utilisation des pesticides
L'Association Professionnelle des Producteurs / Exportateurs de Produits Horticoles de Maurice (APEXHOM) a réuni des agriculteurs et des importateurs aujourd'hui à Pailles pour réfléchir sur la question des pesticides, produits dangereux mais nécessaires à la production agricole.
Vivekanand Lochun, président de l'APEXHOM, a expliqué le principal objectif de cet atelier de travail : la baisse des coûts de production, qui passe par une utilisation rationnelle des pesticides. " La raison étant que la production agricole fait face à de nombreux problèmes, notamment au changement climatique qui lui joue des tours, au non-aboutissement des négociations commerciales, et à la solitude de Maurice en tant que pays membre du Eastern and South African Group (ESA) dans la promotion de ses intérêts auprès de l'Union Européenne ", a-t-il déclaré. Il a ajouté qu'il faut améliorer les conditions de production pour rendre la production agricole compétitive. " Nous réfléchissons en même temps sur les alternatives les moins coûteuses et plus efficaces, car la gestion des effets secondaires découlant de l'utilisation de ces produits coûte de plus en plus cher ", a souligné M. Lochun.
Selon lui, les producteurs agricoles veulent faire entendre leur voix au niveau national " car ils constatent que cette question n'est pas considérée au niveau de la politique agricole du pays. " Dans le passé, a indiqué M. Lochun, APEXHOM a lancé plusieurs projets, dont la collecte et la gestion des récipients des pesticides. " Il y a un gros problème de logistique et de financement qui nous empêche de détruire les récipients collectés. Je constate que les producteurs négligent la collecte de ces récipients. Il nous faudra nous ressaisir et mener à bien ce projet ", a déclaré le président de APEXHOM. Cette dernière ne sait également pas comment se débarrasser des pesticides dont la date d'expiration est passée. " Nous ne trouvons pas de solution durable… ", a-t-il ajouté.
Par ailleurs, M. Lochun a dit apprécier l'annonce, dans le dernier budget, du recrutement d'attachés commerciaux pour les différentes ambassades mauriciennes à l'étranger, dans le but de promouvoir les exportations mauriciennes et aussi de trouver des nouveaux marchés pour les producteurs agricoles.
Selon les chiffres présentés par le Dangerous Chemicals Control Board, Maurice a importé 836 tonnes de pesticides en 2009 contre 680 tonnes en 2005 ; 206 tonnes de fongicides en 2009 contre 187 tonnes en 2005 ; et 1 279 tonnes d'herbicides en 2009 contre 1 182 tonnes en 2005.
Reproduced from leauricien.com of 30.11.10
Keywords: mauritius agriculture, mauritius agriculture news, mauritius news, mauritius food security, mauritius agricultural research, mauritius agricultural development, mauritius livestock, mauritius crop research, mauritius technology, mauritius tourism, maurice ile durable, mauritius renewable energy, mauritius agricultural information specialists network, maisnet, sadc, icart.
Friday, November 26, 2010
Ex-planteurs de Riche Terre: Le rapport Noël-Ramkissoon rendu public
Le Conseil des ministres a fini par trancher ce vendredi 26 novembre dans le litige qui oppose les ex-planteurs de Riche-Terre au gouvernement. Décision a été prise de rendre public le rapport Noël-Ramkissoon comme réclamé, à travers une grève de la faim, par les agriculteurs.
Ce rapport qui est censé mettre en lumière le taux de compensation à être versé à ces planteurs, évacués de Riche-Terre pour faire de la place à la zone industrielle chinoise, Jin Fei, a été déposé par le ministre de l’Agro-industrie, Satish Faugoo, cet après-midi. En attendant que le contenu leur soit communiqué, afin de vérifier si la compensation consentie par le gouvernement est la même que celle proposée par ces deux experts, trois des anciens planteurs continuent leur grève.
L’annonce de la publication du rapport a été faire par le ministre Satish Faugoo lors d’une conférence de presse à son bureau, à Port-Louis, vers 14h30. Soit quelques minutes avant qu’il ne retourne à l’Assemblée nationale où, cet après-midi même, il a dû répondre à une Private Notice Question (PNQ) du leader de l’Opposition, Paul Bérenger, sur le sort des ces ex-planteurs.
En réponse à Paul Bérenger, le gouvernement maintient sa compensation initiale, estimant que celle-ci est «juste». De plus, elle dépasserait même le dommage qui leur est dû sur la base des calculs de l’Evaluation Office.
«Ce que nous leur proposons est plus que suffisant. Nous avons fait preuve de bonne foi, pour montrer que nous sommes un gouvernement qui ne laisse pas tomber les gens. Nous sommes en train d’appliquer ce qui est peut l’être. Nous ne pouvons pas faire plus, en tant que gouvernement responsable», affirme le ministre Faugoo.
Donc, c’est à prendre ou à laisser, a-t-il fait ressortir. Satish Faugoo a aussi tenu à préciser que le rapport Noël-Ramkissoon est sur la même longueur d’ondes que les experts du gouvernement à l’effet que les « field surveys » sont exacts et que le déplacement des ces agriculteurs a été effectué selon les normes en vigueur.
Le gouvernement ne partage, toutefois, pas un point crucial dans le rapport Noël-Ramkissoon. Le document propose la même compensation à tous les ex-planteurs. Or, selon les « field surveys » du gouvernement, sur les 22 ex-planteurs mécontents, seulement 13 s’occupaient de leurs terres.
«Le rapport Noël-Ramkissoon propose la même compensation à tous les ex-planteurs, considérant que les 22 ex-planteurs ont fait une grève de la faim ensemble, leur « collective bargaining » doit être effectué ensemble », explique le ministre Faugoo.
Le gouvernement est donc pour le paiement d’une compensation de Rs 120 000 pour chaque arpent de terre aux treize agriculteurs et se propose de payer les intérêts à compter de 2007, ainsi que rayer leurs notes de fourniture d’eau et d’électricité et de rééchelonner leurs dettes auprès de la Banque de développement.
Si jamais les anciens planteurs ne veulent plus retourner à la terre, outre les Rs 120 000 par arpent, le gouvernement est disposé à payer Rs 276 760 (donc Rs 35 650 par arpent à compter de juillet 2007 jusqu’à la fin du bail se terminant en août 2015).
Quant aux autres neuf planteurs qui avaient abandonné leurs champs, l’Etat ne dispose qu’à leur payer une compensation de Rs 120 000, ajoutée aux intérêts au taux en cours.
La balle est désormais dans le camp des ex-planteurs. C’est aux trois grévistes de la faim, Tadbir Dassarath, Amritlall Ramgoolam et Aurela Edouard de décider s’ils poursuivront leur mouvement de protestation.
«Nous ne croyons pas que ces gens qui disent soutenir les ex-planteurs se soucient davantage de ces derniers que le gouvernement. Ces gens ont des « hidden agenda », a avancé Satish Faugoo à l’issue de sa conférence de presse. Il maintient également que l’Opposition a pris position en faveur des agriculteurs uniquement pour obtenir des gains politiques.
from lexpress.mu of 26.11.10
Keywords: mauritius agriculture, mauritius agriculture news, mauritius news, mauritius food security, mauritius agricultural research, mauritius agricultural development, mauritius livestock, mauritius crop research, mauritius technology, mauritius tourism, maurice ile durable, mauritius renewable energy, mauritius agricultural information specialists network, maisnet, sadc, icart.
Wednesday, November 24, 2010
FAO: Jacques Diouf en visite officielle à Maurice
Depuis son arrivée samedi, le directeur général de la FAO a eu un programme chargé. Samedi matin Jacques Diouf s’est rendu au Jardin botanique de Pamplemousses où il a déposé des gerbes au samadhi de sir Seewoosagur Ramgoolam. En présence des membres du gouvernement, dont le ministre de l’Agro-industrie, Satish Faugoo, il a mis en terre un plant du ‘Protium Obtusifolium’, un arbre endémique pouvant atteindre 20 mètres de haut et ayant des vertus médicinales.
Le directeur général de la FAO a fait mention de son intervention dans le domaine de la formation aussi bien que dans les réformes des activités sucrières. Naturellement, affirme-t-il, tout ce qui touche aux idées pour développer les valeurs ajoutées et régler les problèmes techniques spécifiques. Jacques Diouf a qualifié Maurice d’un pays exemplaire qui offre des institutions très démocratiques et qui apporte une bonne gouvernance pour faire face aux besoins d’un monde à évolution constante. “C’est un pays qui est bien ancré dans l’exportation de la canne à sucre”, a-t-il déclaré. Et d’ajouter que le pays s’est aussi industrialisé et va davantage dans le développement des nouvelles technologies de l’information. Il a toutefois fait ressortir qu’il faut aussi progresser au niveau de l’agriculture.
En outre, Jacques Diouf a signé le livre des visiteurs au Château de Mon Plaisir. Le Chief Executive Officer du Jardin des Pamplemousses, Chetanand Ramgoolam, a souligné que “c’est un grand honneur et respect de recevoir le directeur général de FAO, Jacques Diouf au jardin de Pamplemousses. Sa visite va resserrer les liens entre la FAO et Maurice.”
Le directeur général de la FAO a assisté aux travaux du Regional Integration Forum organisé par la prestigieuse Mo Ibrahim Foundation, dimanche au centre des conférences Swami Vivekananda, à Pailles.
Il participera ce lundi matin à la clôture des programmes sur la relance du ‘Pig Sector’ (FAO/TCP Project 3203) à Petite Cannelle, au Domaine Les Pailles. Puis, il visitera le Centre de Recherches halieutiques d’Albion.
C’est la 3e visite que Jacques Diouf effectue chez nous. La première remonte à 1996 alors qu’il venait d’être élu au poste de directeur général de la FAO. En 2005, il a assisté à une conférence tenue à Maurice.
Keywords: mauritius agriculture, mauritius agriculture news, mauritius news, mauritius food security, mauritius agricultural research, mauritius agricultural development, mauritius livestock, mauritius crop research, mauritius technology, mauritius tourism, maurice ile durable, mauritius renewable energy, mauritius agricultural information specialists network, maisnet, sadc, icart.
Download: The State of Food Insecurity in the World - Addressing food insecurity in protracted crises
Keywords: mauritius agriculture, mauritius agriculture news, mauritius news, mauritius food security, mauritius agricultural research, mauritius agricultural development, mauritius livestock, mauritius crop research, mauritius technology, mauritius tourism, maurice ile durable, mauritius renewable energy, mauritius agricultural information specialists network, maisnet, sadc, icart.
Sunday, November 21, 2010
Call for Papers: EFITA/WCCA July 11th and July 14th, 2011 Prague, Czech Republic
Researchers are encouraged to submit their papers electronically via the web site as a MS Word file and to structure them as a standard scientific article. All papers will be fully refereed by a minimum of two specialized referees. Before final acceptance, all referees' comments will be considered. Accepted papers will be published in the 8th EFITA/WCCA proceedings and will be presented orally at the conference.
The papers introduce original scientific works, integrating both qualitative and quantitative research and will be published in English.
Accepted papers will be published by the Czech University of Life Sciences Prague in the conference proceedings and will be forwarded to Thomson Reuters for evaluation and eventual registration in the Web of Science database.
The editor reserves the right to return manuscripts that do not conform to the instructions for manuscript preparation and artwork instruction, as well as papers that do not fit the scope of the conference, prior to refereeing. The editor will only accept manuscripts submitted electronically. The receipt of manuscripts will be acknowledged. Please ensure that you are sending us the final and complete manuscript and that it is written in clear and concise English. We recommend that authors have the final version of their manuscript English language checked before submitting it to the conference. Authors are solely responsible for the factual accuracy of their papers. Contributions are received with the understanding that they comprise original, unpublished material and are not being submitted for publication elsewhere.
Papers accepted for publication will be peer-reviewed by leading experts in the field to ensure academic rigor and integrity, thus revisions to the script may be required. When a manuscript is returned for revision prior to final acceptance, the author must submit the revised version by the deadline after having received the referee's reports. Authors will receive proofs for approval before publication.
Detailed publication guidelines are available in the Guidelines for authors.
Keywords: mauritius agriculture, mauritius agriculture news, mauritius news, mauritius food security, mauritius agricultural research, mauritius agricultural development, mauritius livestock, mauritius crop research, mauritius technology, mauritius tourism, maurice ile durable, mauritius renewable energy, mauritius agricultural information specialists network, maisnet, sadc, icart.
Thursday, November 18, 2010
US$1.2 billion investment planned by a business group from Mauritius in Mozambican aquaculture
Citing Mozambican Fisheries Minister Victor Borges, the newspaper states that the country has the potential to produce 2 million tonnes of various kinds of fish using aquaculture processes, though current production is no more than a thousand tonnes, or 0.05 percent.
During a Mozambican government seminar to present the country’s potentials in the sector, Mauritius’s Fisheries Minister, Von-Mally Joseph, said his country aimed to make use of the investment incentives Mozambique was offering.
Borges acknowledged that national fishing production “is below its potential” in Mozambique, since the country only produces 150,000 tonnes per year, about 45 percent of what it is possible to produce.
The Mozambican government is undertaking a number of actions to increase production, specifically meant to attract more investment with a view to reaching other markets and not just the European Union, currently the main destination of national fish exports.
The fishery sector currently accounts for 2 percent of the country’s gross domestic product (GDP) and 4 percent of its overall exports. Fish is the fifth most commercialised product abroad.
The government recently approved the Fisheries Master Plan for 2010-2019, whose immediate aim is to enhance the sector’s contribution towards improving the population’s food and nutritional security.
The plan also aims to improve the quality of life of artisanal fishermen and small-scale fish farmers, besides increasing the sector’s contribution to the country’s economic and social development and a better balance of payments. (macauhub)
Monday, November 15, 2010
INDIA: Soon, farmers to detect crop disease via mobile
The new application, known as “mKrishi” will be available to farmers through mobile phones network throughout the country
Chandigarh: Farmers all across the nation need not worry about pests and crop diseases as they will soon be able to get all this information on their mobile phones.
The pilot project will be implemented in a few villages of Punjab and Uttar Pradesh initially. Agricultural experts in some of the villages are already gathering information from a wireless sensor network spread across the farms, wherein based on soil, weather, rainfall and other parameters diseases in crops are being detected.
The new application, known as “mKrishi”, to detect the crop diseases has been developed by Tata Consultancy Services. “It took us more than two years to develop this mobile phone application. This sensing technology will be available to farmers through mobile phones network throughout the country,” TCS scientist Dr Bhushan Jagyasi said.
To cost Rs 100 a month, the service providers will provide application to high-end phone users; TCS will support the low-end users. Once the application is loaded on the phone, agriculture experts will send a set of questions to farmers related to symptoms of diseases in the local language.
“Farmers will respond in yes or no. Answers will help experts in detecting the crop disease, who will suggest remedial measures to farmers individually. Also, farmers can receive the images showing a disease- affected crop,” added Dr Jagyasi.
In Punjab, experts at Punjab Agricultural University will help the farmers through this application. To begin with, this season farmers will get information regarding the late Bligh disease afflicting the potato crop. This application will later be extended to detect other diseases.
Keywords: mauritius agriculture, mauritius agriculture news, mauritius news, mauritius food security, mauritius agricultural research, mauritius agricultural development, mauritius livestock, mauritius crop research, mauritius technology, mauritius tourism, maurice ile durable, mauritius renewable energy, mauritius agricultural information specialists network, maisnet, sadc, icart.
INDIA: Law to ensure quality seeds for farmers soon
We came across this article on the igovernment.in web portal. Can any of our readers inform us whether we have anything similar in Mauritius? And if so, where can we get a copy of the Act?
The government on Wednesday approved moving additional amendments to the Seeds Bill, 2004 to regulate the quality of seeds and planting materials (Published on 10/20/2010 - 11:58:30 AM on http://www.igovernment.in. Photo from http://www.spicyhomeparties.com)
New Delhi: The Union cabinet on Wednesday approved moving additional amendments to the Seeds Bill, 2004 to ensure availability of quality seeds to farmers."The legislation will regulate the quality of seeds and planting materials to ensure availability of quality seeds to farmers; to protect the rights of farmers; curb the sale of spurious and poor quality seeds; increase private participation in seed production, distribution, and liberalise imports of seeds and planting materials," the Agriculture Ministry said in a statement.
The additional amendments also provide for nomination of chairpersons for Protection of Plant Varieties and Farmers Rights Authority and National Bio-diversity Authority to the Central Seed Committee, submission of seed-related periodic returns to the state government and enhancement in penalties of offences.
Provisions of labelling, seed health, expected performance and compensation to farmers have been included to ensure public accountability, reports IANS.
"The provisions will be implemented only after the Bill becomes an Act," the statement said.
The legislation is likely to be taken up during the upcoming Winter Session of Parliament commencing November 9.
According to the Agriculture Ministry, the efficacy of other agricultural inputs such as fertilisers, pesticides and irrigation is largely determined by the quality of seed. Seed quality accounts for 20-25 per cent of productivity.
"It is, therefore, important to ensure the quality of seed."
"A need has arisen for upgrading the seed quality regime by enacting a new legislation in view of emergence of new technologies; India's integration at the international level through World Trade Organisation (WTO), and other international organisations/treaties and increasing scope of export/import of seeds and planting materials," the Ministry said.
Keywords: mauritius agriculture, mauritius agriculture news, mauritius news, mauritius food security, mauritius agricultural research, mauritius agricultural development, mauritius livestock, mauritius crop research, mauritius technology, mauritius tourism, maurice ile durable, mauritius renewable energy, mauritius agricultural information specialists network, maisnet, sadc, icart.
Sunday, November 14, 2010
Conflict Resolution: An Art and a science to be Mastered
But, whether we are from the agricultural sector or not, if we have not already faced such situations, we might sooner of later be facing similar challenges.
So what do we do then? This is where the theory / concept and application of 'conflict resolution' comes in.
We are reproducing below part of an article on the subject and you can find the link below to read more on it and on related subjects.
Bear in mind that conflict resolution is no peace of cake. It is an Art and a Science that needs to be mastered. We hope you enjoy the reading and perhaps try to reflect on the current conflicts you are facing and think how you would have tried to resolve it.
We would appreciate your valuable comments on 'conflict resolution'.
Resolving conflict rationally and effectively
In many cases, conflict in the workplace just seems to be a fact of life. We've all seen situations where different people with different goals and needs have come into conflict. And we've all seen the often-intense personal animosity that can result.
The fact that conflict exists, however, is not necessarily a bad thing: As long as it is resolved effectively, it can lead to personal and professional growth.
In many cases, effective conflict resolution skills can make the difference between positive and negative outcomes.
The good news is that by resolving conflict successfully, you can solve many of the problems that it has brought to the surface, as well as getting benefits that you might not at first expect:
Keywords: mauritius agriculture, mauritius agriculture news, mauritius news, mauritius food security, mauritius agricultural research, mauritius agricultural development, mauritius livestock, mauritius crop research, mauritius technology, mauritius tourism, maurice ile durable, mauritius renewable energy, mauritius agricultural information specialists network, maisnet, sadc, icart.
Friday, November 12, 2010
Chauves-souris : Les planteurs ne paieront que 25 % pour les filets de protection des arbres fruitiers
Les cultivateurs de fruits paieront 25% seulement du coût d’un filet de protection anti-chauves-souris. Le Conseil des ministres a donné son aval, vendredi 1er octobre pour que ce programme soit étendu à la saison 2010.
Ce plan d’aide a été lancé en 2009 dans le cadre d’une campagne nationale pour la protection contre les chauves-souris grosses consommatrices de fruits. Cette mesure concerne plus particulièrement à la récolte de letchis qui commence dans quelques semaines.
Chaque planteur pourra acquérir une dizaine de ces filets qui viennent couvrir la partie supérieure des arbres fruitiers protégeant ainsi les fruits contre la voracité des volatiles. La récolte fruitière de 2008 en avait énormément souffert. Le ministère de l’Agro-industrie et de la Sécurité alimentaire avait lancé, l’année suivante, lancé une vaste campagne de protection.
D’autre part, ce ministère, en collaboration avec le National Parks Conservation Service, entamera, incessamment, un recensement de la population des chauves-souris à Maurice. Ces donnés serviront, par la suite, à contrôler sa population par rapport à un seuil de tolérance.
La population de la chauve-souris, le Pteropus niger, a beaucoup augmenté ces dernières années, atteignant, selon certaines estimations, quelque 30 000 spécimens. Le Pteropus niger,qui vit principalement dans les montagnes et les caves, n''a aucun prédateur connu à Maurice.
Le Pteropus niger est endémique et elle est protégée par la loi. Toute personne trouvée coupable d'avoir abattu une chauve-souris est passible d'un peine d'emprisonnement maximale de cinq ans et d'une amende n’excédant pas Rs 100 000.Keywords: mauritius agriculture, mauritius agriculture news, mauritius news, mauritius food security, mauritius agricultural research, mauritius agricultural development, mauritius livestock, mauritius crop research, mauritius technology, mauritius tourism, maurice ile durable, mauritius renewable energy, mauritius agricultural information specialists network, maisnet, sadc, icart.
:: Blog Admin Note :: Article reproduced from lexpress.mu of 02.10.10 ::
Des grains secs bientôt cultivés sur une grande échelle
DANS une station de l’ Agricultural Research and Extension Unit ( Areu), à Réduit, des variétés de gros pois sont arrivées à maturité. Ne reste plus que la cueillette. En fait, 45 variétés de gros pois, de même qu’une vingtaine de variétés de soja, des petits pois et des haricots « pales » sont cultivés dans plusieurs endroits de l’île, dont Richelieu. Et, l’Areu songe sérieusement à les cultiver sur une grande échelle… Maurice réunit, en effet, les conditions nécessaires à la production de ces types de grains.
A commencer par un climat propice pour leur culture. Sans compter que la fl ambée des prix sur le marché mondial n’est pas sans encourager l’Areu à accélérer ses recherches. Car, à environ Rs 35 le demi- kilo d’haricot rouge et Rs 22 un sachet de demi- kilo de gros pois, il ne serait plus aussi préférable, fi nancièrement, de les importer... Selon Mala Gungadurdoss, Principal Research Officer à l’Areu, les résultats des plantations locales de grains ont été très positifs. « Il faut juste étudier comment rendre la culture de ces grains profitable tout en dépensant moins. » La maind’oeuvre coûte, en effet, cher . C’est ainsi que pour la plantation à grande échelle, il faudra compter sur la mécanisation, estime notre interlocutrice. L’industrie sucrière, à titre d’exemple, pourrait en faire des interline corps , c’est- à- dire les cultiver entre deux rangées de canne à sucre.
Anita Awotarowa, chercheuse qui travaille sur les gros pois – qui sont uniquement cultivés dans les pépinières de l’Areu –, espère pouvoir développer une variété propre à Maurice qui aura un rendement meilleur. « Il y a aussi la culture de soya qui donne des résultats probants. » Et, « avec le nombre de végétariens chez nous, cette culture a un avenir » , soutient- elle. A noter que les 22 types de soja cultivés sont appropriés pour la consommation.
Concernant les haricots, les planteurs qui participent aux recherches avec l’Areu, sont encouragés à produire des grains.
« Les ‘ haricots pales’ ne sont pas complètement secs. D’ailleurs, grâce aux facilités offertes, je peux dire que les planteurs sont intéressés » , affi rme Vanishta Cantiah, une autre chercheuse.
D’autant plus que l’Areu prévoit des avantages pour les cultivateurs et consommateurs si la plantation est faite à grande échelle. C’est ainsi que les grains consommés à moitié sec – ou verts dans le cas des gros pois – auraient meilleur goût avec un temps de cuisson limité. Les planteurs peuvent également gagner su r le poids de leurs produits.
Keywords: mauritius agriculture, mauritius agriculture news, mauritius news, mauritius food security, mauritius agricultural research, mauritius agricultural development, mauritius livestock, mauritius crop research, mauritius technology, mauritius tourism, maurice ile durable, mauritius renewable energy, mauritius agricultural information specialists network, maisnet, sadc, icart.
:: Blog Admin Note :: Article reproduced from lexpress.mu of 21.09.10 ::
Saturday, November 6, 2010
Official video of the International Year of Biodiversity 2010
Is the world running out of fish: Build a sustainable fishing industry
Sunday, October 31, 2010
14th Regional EuroAfrica-ICT FP7 Awareness Workshop (Nov. 3-4, 2010 – UoM, Mauritius)
These workshops aim at raising awareness on FP7/ICT and at enhancing Euro-African collaborative projects on ICT research. 50-70 delegates (Institutions | National and international organisations | SMEs | Academia | Research institutes | etc.) are expected to attend the next Regional EuroAfrica-ICT FP7 Awareness Workshop (the 14th of its series) to be held on November 3-4, 2010 at the University of Mauritius. This 2-day workshop will be prepared and organised by the AUF (Agence Universitaire de la Francophonie – Part of the EuroAfrica-ICT consortium).
With the main objective of raising awareness on collaboration/funding opportunities offered to sub-Saharan African organisations by the European Commission’s Seventh Framework Programme for Research and Technological Development (FP7), this workshop is designed for everyone with an interest in ICT research and in Euro-African collaborative projects (Senior representatives from governments | Representatives from international development cooperation agencies | ICT project managers | Programme managers | Heads of research labs | IT engineers | Deans, directors, lecturers and researchers from universities and the higher education sector | Managers of NGOs, professional associations, centres of excellence, trade unions, chambers of commerce, etc. | Industry stakeholders | etc.).
Keywords: mauritius agriculture, mauritius agriculture news, mauritius news, mauritius food security, mauritius agricultural research, mauritius agricultural development, mauritius livestock, mauritius crop research, mauritius technology, mauritius tourism, maurice ile durable, mauritius renewable energy, mauritius agricultural information specialists network, maisnet, sadc, icart.
Saturday, October 30, 2010
La publication du rapport Noël réclamée
View Larger Map...Et Voilà... C'est reparti ... Les ex-planteurs de Riche Terre donnent la réplique au Ministre de l’Agro-Industrieet et de la Sécurité Alimentaire ... Affaire à suivre ..
"Que le ministre de l’Agro-industrie ait le courage de rendre public le rapport Noël-Ramkisson !” C’est le défi que les 23 ex-planteurs de Riche-Terre ont lancé au ministre de l’Agro-industrie Satish Faugoo 24 heures après que ce dernier a effectué une sortie virulente contre eux.
Ces derniers rejettent la compensation proposée par le gouvernement, soit Rs 120 000 par arpent. Ils réclament une somme de Rs 100 000 par an et cela pour une période de sept ans au moins.
Après une longue grève de la faim de ces ex-planteurs, le gouvernement avait désigné Alain Noël et Jayraj Ramkissoon, respectivement président et directeur général du Food and Agriculture Research Council, pour enquêter sur le bien-fondé des doléances des grévistes, qui avaient été contraints d’évacuer leurs terres pour faire place au projet JinFei (ex-Tianli). Le rapport, soumis le 27 avril, n’a toutefois pas été rendu public.
Réagissant à une déclaration du ministre, qui avait dit que les anciens planteurs peuvent entreprendre des actions légales s’ils ne sont pas satisfaits de la compensation offerte, Salim Muthy dira que ses associés et lui-même n’ont pas l’argent nécessaire pour avoir recours à la justice. “Nous sommes des gens pauvres, au bas de l’échelle. Et le ministre ose venir dire que nous devons porter l’affaire devant la justice ! C’est une insulte que nous ne pouvons que subir en ces moments de détresse.”
Keywords: mauritius agriculture, mauritius agriculture news, mauritius news, mauritius food security, mauritius agricultural research, mauritius agricultural development, mauritius livestock, mauritius crop research, mauritius technology, mauritius tourism, maurice ile durable, mauritius renewable energy, mauritius agricultural information specialists network, maisnet, sadc, icart.
Reproduced from lematinal.com of 27th October 2010
Roger Fayd'herbe (Mauritius) - Interactive Pest Solution Finder
Roger Fayd'herbe (Mauritius) has developed a low cost interactive pest solution finder. Aimed at farmers or any hobbyist the led illuminated panel can be used to identify pest affecting one's crop and thereon get information on its management.
While there is a frenzy to develop expensive and heavily technology based interactive packages we welcome Roger Fayd'herbe initiative. Moreover, we stress that such systems should favour IPM rather than use of pesticides. We therefore encourage institutions to build on this concept for training and educational purposes on Good Agricultural Practices.
How this one works:
(i) You have photos of pests and its management information on a poster
(ii) Minute switches are found at each pest level. When press, the management information is illuminated. Obviously, at the back, some wiring is required to match each pest photo with its solution.
This mini interview was carried out on World Food Day. The speaker is Arvind from RF.
Keywords: mauritius agriculture, mauritius agriculture news, mauritius news, mauritius food security, mauritius agricultural research, mauritius agricultural development, mauritius livestock, mauritius crop research, mauritius technology, mauritius tourism, maurice ile durable, mauritius renewable energy, mauritius agricultural information specialists network, maisnet, sadc, icart.
Thursday, October 28, 2010
World Food Day Pictures - Held at SSR Botanical Garden, Pamplemousses
>> CLICK HERE FOR FULL SCREEN DISPLAY <<
Keywords: mauritius agriculture, mauritius agriculture news, mauritius news, mauritius food security, mauritius agricultural research, mauritius agricultural development, mauritius livestock, mauritius crop research, mauritius technology, mauritius tourism, maurice ile durable, mauritius renewable energy, mauritius agricultural information specialists network, maisnet, sadc, icart.
Wednesday, October 27, 2010
How to Join the Mauritius Agricultural Information Specialists Network (MAISNET)
We will get back to you within the shortest delay.
Keywords: mauritius agriculture, mauritius agriculture news, mauritius news, mauritius food security, mauritius agricultural research, mauritius agricultural development, mauritius livestock, mauritius crop research, mauritius technology, mauritius tourism, maurice ile durable, mauritius renewable energy, mauritius agricultural information specialists network, maisnet, sadc, icart.
Reproduced from lematinal.com of 26th October 2010