Tuesday, October 25, 2011

Spore Magazine Issue No 155: October - November 2011

The latest issue of Spore is online!


Download HERE.


Download courtesy: CTA

Friday, October 21, 2011

EVENT ANNOUNCEMENT: ALTERNATIVES TO PESTICIDES

The Mauritius Horticultural Society 
has the pleasure to invite those interested to a 
SEMINAR 
on
ALTERNATIVES TO PESTICIDES



Guest speakers: Assoc. Prof. Dr Sunita Facknath & Ms Malini Alleck.


Venue: Harry Flowers Centre, Bois Cheri Rd., Moka.

Date: Saturday 05 November 2011.

Time: 10.00 to 12.00.

Discussion / debate included in programme.
-------------------------------------------------------------------------------------
To confirm your participation, kindly call on 7553547 or 7747434.

Thursday, October 20, 2011

Sugar production expected to be around 390 000 tonnes


According to the Mauritius Chamber of Agriculture, the production of sugar would be around 390 000 tonnes for the crop year 2011.  This estimate is based on statistics for the sugar sector for the first semester of 2011.
In fact, economic indicators of Statistics Mauritius show that at the end of June 2011, around 3950 hectares under sugar cane were harvested, yielding 262 151 tonnes of cane and 24 132 tonnes of sugar.  The corresponding figures at the same period in 2010 were 4 800 hectares, 361 875 tonnes of cane and 33 815 tonnes of sugar respectively.  The average extraction rate as at June 2011 was 9.21% compared to 9.34% in the first semester of 2010.
Statistics Mauritius has also released figures on tea plantation, tobacco production, livestock and poultry for the first semester of 2011.  Regarding tea plantation, the area under cultivation in 2011 was the same as in 2010, that is 698 hectares.  The production of green tea leaves for the first semester of 2011 was 5 307 tonnes compared to 4 282 tonnes for the corresponding period of the preceding year.  Production of manufactured tea went up by 26.1%, from 835 tonnes in the first semester of 2010 to 1 053 tonnes in the same period of 2011.
The production of tobacco leaves went up from 98 tonnes in the first semester of 2010 to 124 tonnes in the corresponding period of 2011.  An area of 70 hectares was harvested during the first months of 2011 against 66 hectares for the same period in 2010.
During the first half of 2011, the production of beef from live cattle was 961 tonnes, which is 3.5% lower than the figure of 996 tonnes registered in the corresponding period of 2010.  Beef production from the slaughter of imported cattle, accounting for 91.2% of the total production, decreased by 7.2% from 944 tonnes to 876 tonnes.  Local beef production went up by 63.5% from 52 tonnes to 85 tonnes.  This increase is seen mainly as the result of different schemes put under the “Food Security Fund” of the Ministry of Agro Industry and Food Security.
The production of goat meat and mutton went down by 10.8% from 37 tonnes during the first semester of 2010 to 33 tonnes for the same period of 2011.  The share of local production, inclusive of Rodrigues, stood at 81.8%.  This is mostly explained by a decrease in the production of meat obtained from slaughter of imported animals from 10 tonnes in the first semester of 2010 to 6 tonnes in the corresponding period of 2011.
The production of pork rose by 7.5% from 281 tonnes in the first semester of 2010 to 302 tonnes in the corresponding period of 2011.
The production of poultry expanded by 2.2%, from 22 500 tonnes in the first semester of 2010 to 23 000 tonnes in the corresponding period of 2011.

Tuesday, October 18, 2011

Journée internationale de l’alimentation : Grosse affluence au Jardin de Pamplemousses

L’initiative du ministère de l’Agro-industrie de célébrer la Journée mondiale de l’alimentation a été un succès. Le jardin botanique Sir Seewoosagur Ramgoolam de Pamplemousses a accueilli une grande foule ce dimanche 16 octobre.
Une grosse affluence en cette journée dominicale. C’est ce qu’a connu le Jardin de Pamplemousses dans le cadre de la journée porte-ouverte organisée par le ministère de l’Agro-industrie dans le cadre de la Journée internationale de l’alimentation. Cet événement a réuni un bon nombre d’exposants évoluant dans le domaine agricole et artisanal.
Des produits pour le jardin, des denrées alimentaires ou de l’artisanat. Tout y était et le public a su répondre à l’appel. Petits et grands se sont rués ce matin au jardin botanique de Pamplemousses. Le but du ministère de tutelle était d’exposer aux Mauriciens tous les avantages de cultiver la terre.
L’Agricultural Research and Extension Unit (AREU) entretenait également une échoppe. Des produits du terroir y étaient exposés. Selon les cadres de l’institution, il est important que les Mauriciens prennent connaissance de l’importance de cultiver la terre mais aussi d’éviter le gaspillage.
«L’AREU a développé des technologies pour permettre à la population de réduire sa dépendance aux produits importés. Par exemple, nous offrons des conseils aux entrepreneurs, aux industriels et même aux citoyens », explique un employé de l’AREU. Les cadres de l’institution ont exposé des plants de riz, de manioc et de blé.
La journée porte-ouverte a également été l’occasion pour les petits entrepreneurs d’exposer leurs articles. D’ailleurs, en ce jour spécial, des rabais étaient offerts aux clients. Ce dimanche, Mayadevi qui prépare elle-même son massala, a proposé ses produits à petits prix.
Cela fait 17 ans depuis qu’elle a trouvé en elle un vrai talent. «C’est alors que j’étais femme au foyer et qu’il me fallait m’occuper de mes enfants que j’ai trouvé nécessaire d’aider mon époux financièrement. J’ai fait ce que je savais faire le mieux », explique-t-elle. Auprès d’elle s’est réunie une petite foule qui se précipite pour humer le bon parfum du massala.
Un peu plus loin, nous remarquons une autre affluence. Cette fois, c’est l’échoppe de UDC Green qui intéresse les gens. Des plantes, des outils de jardinage, de l’engrais. Les amoureux de la nature y ont trouvé leur bonheur.
Johana Piette, responsable de UDC Green, nous expose le produit qui a été adopté par de nombreux visiteurs : le sac vert. Ce sac, vendu à plusieurs unités depuis vendredi, permet aux Mauriciens de cultiver des plantes à l’intérieur ou sur un petit balcon.


Noel Rawateea, un septuagénaire de Beaux-Songes a, pour sa part, opté pour un «coco chip». Il avoue qu’il tente une expérience avec ce produit qui est connu pour ses atouts d’humidificateur de sol. «Il me suffira de mettre les morceaux de fibre de coco dans de l’eau et de les placer sur la terre avant de planter », affirme-t-il avant de nous confier qu’il s’est adonné au jardinage depuis qu’il est retraité.

A côté de l’échoppe d’UDC Green, une tente blanche interpelle. De ce côté-là, d’autres personnes s’y sont amassées. Mais cette fois, c’est le ministère de la Santé qui s’est présenté. Des services tels que la prise de poids, les examens de contrôle du diabète et de la tension sont offerts gratuitement aux visiteurs.
Un responsable du stand avoue qu’il a eu beaucoup à faire depuis vendredi. Plus de 200 personnes se sont fait examiner par les médecins. «Nous ne nous arrêtons pas uniquement à ces examens, nous proposons aussi un  suivi des patients. Si le cas est grave, nous prenons les choses en main, immédiatement », affirme un cadre de la Non-Communicable Diseases and Health Promotion Unit du ministère de la Santé.
Cette initiative du ministère de l’Agro-industrie a débuté le vendredi 14 octobre et prend fin ce dimanche 16 octobre. Plus d’une trentaine d’échoppes étaient à la disposition des visiteurs. Pour l’heure, de nombreux Mauriciens ont pu découvrir des astuces et se procurer des plantes à petit prix.
Le mieux c’est que des conseils étaient également à l’affiche de cette journée porte-ouverte au Jardin de Pamplemousses. Reste encore à espérer que le public saura les mettre en pratique. 

Source: L'Express 16.10.11

Thursday, October 13, 2011

La Réunion : les fruits et légumes pays n’ont pas dit leur dernier mot


Ail, oignon, pommes de terre, carottes, agrumes... Les productions locales de ces fruits et légumes sont de plus en plus menacées par les importations. Ce n’est pourtant pas une fatalité pour la profession qui tente de s’organiser afin de récupérer des parts de marché dans les prochaines années.
Oignon d’Inde, ail de Chine, carotte d’Australie... C’est un véritable tour du monde auquel ont droit les consommateurs réunionnais au moment de faire leurs courses de fruits et légumes. D’année en année, les importations grignotent des parts de marché sur les productions locales. Au risque de finir par les éclipser.
Les importations de carottes et d’agrumes ont ainsi augmenté de 40% en 10 ans, passant de 1800 tonnes annuelles en 2000 à 2950 tonnes en 2010 pour les premières, et de 3999 à 6885 tonnes pour les seconds. Dans le même temps, la production locale de carottes a chuté de plus du tiers, de 2600 à 1890 tonnes. Les agriculteurs locaux ont aussi produit de moins en moins d’agrumes, de 11200 tonnes en 2000 à 9900 tonnes en 2010 (- 13%).
Ail, oignon, piments, poivrons... Le constat est à peu près le même pour la plupart des productions locales. Seules les salades, tomates et courgettes tirent à peu près leur épingle du jeu - peu ou pas d’importations et une production locale de plusieurs centaines ou milliers de tonnes. Quant aux fruits et légumes qui ne poussent pas ou peu sur les terres réunionnaises, ils font aussi l’objet d’importations en hausse, aux alentours de 20% sur dix ans pour les pommes, les poires et les pêches. Bref, dénicher des fruits et légumes locaux sur les étals relève de plus en plus du défi.
Pourtant, il pourrait en être autrement. « Il y a 40 ans, la Réunion était le grenier de l’ail dans l’océan Indien, rappelle Jean-Yves Minatchy, président de la chambre d’agriculture. Mais les importations nous ont assommés. La Réunion est devenue un marché déversoir. Certes, nous produisons les trois quarts de notre consommation de fruits et légumes frais. Mais nous faisons toujours venir trop de produits de l’extérieur. Car tout ce que nous importons aujourd’hui, nous pourrions très bien le produire localement. Comme peut-on importer 17 tonnes de salades, alors que nous avons les capacités d’en produire toute l’année ? Il faut stopper l’importation, dont le nid se creuse d’année en année. Les Réunionnais participent ainsi au développement économique de pays étrangers au lieu de soutenir celui de la Réunion. »
Au-delà des pertes engendrées pour l’économie locale, Jean-Yves Minatchy pointe un autre inconvénient majeur à l’ampleur grandissante des importations. « Localement, nous sommes tenus de respecter toutes les normes environnementales européennes, explique-t-il. Ce n’est pas le cas de l’Australie, par exemple, dont les carottes reçoivent 25 produits de traitement chimique contre cinq pour celles produites localement. Or, ces carottes utilisées pour nourrir le bétail en Australie, nous les donnons à manger à nos enfants dans les cantines des écoles ! Jusqu’à quand la Réunion va-t-elle servir de dépotoir ? » Jusqu’à ce que les filières locales réussissent à devenir plus compétitives, serait-on tenté de répondre. Car les coûts de production relativement élevés localement expliquent en grande partie la part prise par les importations.
Source: L'Express 12.10.11

Wednesday, October 12, 2011

Event Announcement: Les Lignes d'Or - concours national de poésie (Pouquoi pas l'agriculture?)

World Food Day & Save the Children

Alison Doherty of Save the Children has communicated to us below. Just like we breathe and we don't realise that we are actually 'alive', at times we forget that Agriculture sustains the life on earth. Please take the quiz as part of your World Food Day contribution.







Today is World Food Day and we have good news to report — there are fewer underweight children in developing countries: a major improvement in the last decade. But millions still need help. Rising food prices and natural disasters have hit the most vulnerable around the world. Drought in Africa, monsoon floods in Pakistan, and other catastrophes have devastated crops and livestock — putting lives at risk. Progress isn’t coming fast enough for those who need it the most.

Take the Save the Children World Food Day Quiz above and test your knowledge!


Ways You Can Help

There is no silver bullet against child hunger and malnutrition. But comprehensive strategies that address the complex nature of the problem do work. Save the Children fights child hunger around the world — along with striving to help children over come despair, violence and illness. With your generous gift to the Global Action Fund, you help us carry out our worldwide mission to create lasting change in the lives of children in need. Some need food, medicine or books — other in need of hope for a brighter tomorrow.
Charitable contributions from people like you make it possible for us to support child hunger programs, and so much more. Please support our mission and work around the world with a gift to our Global Action Fund. You can count on us to be good stewards of your generous donation, helping vulnerable children where the need is greatest with whatever they need the most.

Monday, October 10, 2011

The Latest Edition of "The State of Food Insecurity in the World" is now Available

About the Series
The State of Food Insecurity in the World raises awareness about global hunger issues, discusses underlying causes of hunger and malnutrition and monitors progress towards hunger reduction targets established at the 1996 World Food Summit and the Millennium Summit. The publication is targeted at a wide audience, including policy-makers, international organizations, academic institutions and the general public with a general interest in linkages between food security, and human and economic development.


How does international price volatility affect domestic economies and food security?
The State of Food Insecurity in the World 2011 highlights the differential impacts that the world food crisis of 2006-08 had on different countries, with the poorest being most affected. While some large countries were able to deal with the worst of the crisis, people in many small import-dependent countries experienced large price increases that, even when only temporary, can have permanent effects on their future earnings capacity and ability to escape poverty.

This year’s report focuses on the costs of food price volatility, as well as the dangers and opportunities presented by high food prices. Climate change and an increased frequency of weather shocks, increased linkages between energy and agricultural markets due to growing demand for biofuels, and increased financialization of food and agricultural commodities all suggest that price volatility is here to stay. The report describes the effects of price volatility on food security and presents policy options to reduce volatility in a cost-effective manner and to manage it when it cannot be avoided.



The full publication can be downloaded HERE.


Source: FAO

Sunday, October 9, 2011

Spore Special Issue: Modernising Farms - Paths to Success

Download this special issue here.

Download Spore issue  No 154 Aug / Sept 2011 here.


Download courtesy: CTA