Tuesday, November 30, 2010

APEXHOM réfléchit sur l'utilisation des pesticides

Photo: http://ecifm.reading.ac.uk
L'Association Professionnelle des Producteurs / Exportateurs de Produits Horticoles de Maurice (APEXHOM) a réuni des agriculteurs et des importateurs aujourd'hui à Pailles pour réfléchir sur la question des pesticides, produits dangereux mais nécessaires à la production agricole.
Vivekanand Lochun, président de l'APEXHOM, a expliqué le principal objectif de cet atelier de travail : la baisse des coûts de production, qui passe par une utilisation rationnelle des pesticides. " La raison étant que la production agricole fait face à de nombreux problèmes, notamment au changement climatique qui lui joue des tours, au non-aboutissement des négociations commerciales, et à la solitude de Maurice en tant que pays membre du Eastern and South African Group (ESA) dans la promotion de ses intérêts auprès de l'Union Européenne ", a-t-il déclaré. Il a ajouté qu'il faut améliorer les conditions de production pour rendre la production agricole compétitive. " Nous réfléchissons en même temps sur les alternatives les moins coûteuses et plus efficaces, car la gestion des effets secondaires découlant de l'utilisation de ces produits coûte de plus en plus cher ", a souligné M. Lochun.
Selon lui, les producteurs agricoles veulent faire entendre leur voix au niveau national " car ils constatent que cette question n'est pas considérée au niveau de la politique agricole du pays. " Dans le passé, a indiqué M. Lochun, APEXHOM a lancé plusieurs projets, dont la collecte et la gestion des récipients des pesticides. " Il y a un gros problème de logistique et de financement qui nous empêche de détruire les récipients collectés. Je constate que les producteurs négligent la collecte de ces récipients. Il nous faudra nous ressaisir et mener à bien ce projet ", a déclaré le président de APEXHOM. Cette dernière ne sait également pas comment se débarrasser des pesticides dont la date d'expiration est passée. " Nous ne trouvons pas de solution durable… ", a-t-il ajouté.
Par ailleurs, M. Lochun a dit apprécier l'annonce, dans le dernier budget, du recrutement d'attachés commerciaux pour les différentes ambassades mauriciennes à l'étranger, dans le but de promouvoir les exportations mauriciennes et aussi de trouver des nouveaux marchés pour les producteurs agricoles.
Selon les chiffres présentés par le Dangerous Chemicals Control Board, Maurice a importé 836 tonnes de pesticides en 2009 contre 680 tonnes en 2005 ; 206 tonnes de fongicides en 2009 contre 187 tonnes en 2005 ; et 1 279 tonnes d'herbicides en 2009 contre 1 182 tonnes en 2005. 

Reproduced from leauricien.com of 30.11.10
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Friday, November 26, 2010

Ex-planteurs de Riche Terre: Le rapport Noël-Ramkissoon rendu public

Fin du suspense pour les ex-planteurs de Riche-Terre. Le conseil des ministres a décidé de rendre public le rapport Noël-Ramkissoon.

Le Conseil des ministres a fini par trancher ce vendredi 26 novembre dans le litige qui oppose les ex-planteurs de Riche-Terre au gouvernement. Décision a été prise de rendre public le rapport Noël-Ramkissoon comme réclamé, à travers une grève de la faim, par les agriculteurs.

Ce rapport qui est censé mettre en lumière le taux de compensation à être versé à ces planteurs, évacués de Riche-Terre pour faire de la place à la zone industrielle chinoise, Jin Fei, a été déposé par le ministre de l’Agro-industrie, Satish Faugoo, cet après-midi. En attendant que le contenu leur soit communiqué, afin de vérifier si la compensation consentie par le gouvernement est la même que celle proposée par ces deux experts, trois des anciens planteurs continuent leur grève.

L’annonce de la publication du rapport a été faire par le ministre Satish Faugoo lors d’une conférence de presse à son bureau, à Port-Louis, vers 14h30. Soit quelques minutes avant qu’il ne retourne à l’Assemblée nationale où, cet après-midi même, il a dû répondre à une Private Notice Question (PNQ) du leader de l’Opposition, Paul Bérenger, sur le sort des ces ex-planteurs.

En réponse à Paul Bérenger, le gouvernement maintient sa compensation initiale, estimant que celle-ci est «juste». De plus, elle dépasserait même le dommage qui leur est dû sur la base des calculs de l’Evaluation Office.

«Ce que nous leur proposons est plus que suffisant. Nous avons fait preuve de bonne foi, pour montrer que nous sommes un gouvernement qui ne laisse pas tomber les gens. Nous sommes en train d’appliquer ce qui est peut l’être. Nous ne pouvons pas faire plus, en tant que gouvernement responsable», affirme le ministre Faugoo.

Donc, c’est à prendre ou à laisser, a-t-il fait ressortir. Satish Faugoo a aussi tenu à préciser que le rapport Noël-Ramkissoon est sur la même longueur d’ondes que les experts du gouvernement à l’effet que les « field surveys » sont exacts et que le déplacement des ces agriculteurs a été effectué selon les normes en vigueur.

Le gouvernement ne partage, toutefois, pas un point crucial dans le rapport Noël-Ramkissoon. Le document propose la même compensation à tous les ex-planteurs. Or, selon les « field surveys » du gouvernement, sur les 22 ex-planteurs mécontents, seulement 13 s’occupaient de leurs terres.

«Le rapport Noël-Ramkissoon propose la même compensation à tous les ex-planteurs, considérant que les 22 ex-planteurs ont fait une grève de la faim ensemble, leur « collective bargaining » doit être effectué ensemble », explique le ministre Faugoo.

Le gouvernement est donc pour le paiement d’une compensation de Rs 120 000 pour chaque arpent de terre aux treize agriculteurs et se propose de payer les intérêts à compter de 2007, ainsi que rayer leurs notes de fourniture d’eau et d’électricité et de rééchelonner leurs dettes auprès de la Banque de développement.

Si jamais les anciens planteurs ne veulent plus retourner à la terre, outre les Rs 120 000 par arpent, le gouvernement est disposé à payer Rs 276 760 (donc Rs 35 650 par arpent à compter de juillet 2007 jusqu’à la fin du bail se terminant en août 2015).

Quant aux autres neuf planteurs qui avaient abandonné leurs champs, l’Etat ne dispose qu’à leur payer une compensation de Rs 120 000, ajoutée aux intérêts au taux en cours.

La balle est désormais dans le camp des ex-planteurs. C’est aux trois grévistes de la faim, Tadbir Dassarath, Amritlall Ramgoolam et Aurela Edouard de décider s’ils poursuivront leur mouvement de protestation.

«Nous ne croyons pas que ces gens qui disent soutenir les ex-planteurs se soucient davantage de ces derniers que le gouvernement. Ces gens ont des « hidden agenda », a avancé Satish Faugoo à l’issue de sa conférence de presse. Il maintient également que l’Opposition a pris position en faveur des agriculteurs uniquement pour obtenir des gains politiques.

from lexpress.mu of 26.11.10
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Wednesday, November 24, 2010

FAO: Jacques Diouf en visite officielle à Maurice

Jacques Diouf, directeur général de Food and Agriculture Organisation (FAO), qui est arrivé, samedi soir, à Maurice aura un tête-à-tête avec le Premier ministre, Navin Ramgoolam ce lundi à 14h. Une demi-heure plus tard, il animera une conférence au Rajiv Gandhi Science Centre sur le thème suivant : la sécurité alimentaire — défis et perspectives. Après cette conférence, il rencontrera la presse au ministère de l’Agro-industrie vers 17h. Il quitte le pays ce soir vers 23h20.
 
Depuis son arrivée samedi, le directeur général de la FAO a eu un programme chargé. Samedi matin Jacques Diouf s’est rendu au Jardin botanique de Pamplemousses où il a déposé des gerbes au samadhi de sir Seewoosagur Ramgoolam. En présence des membres du gouvernement, dont le ministre de l’Agro-industrie, Satish Faugoo, il a mis en terre un plant du ‘Protium Obtusifolium’, un arbre endémique pouvant  atteindre 20 mètres de haut et ayant des vertus médicinales.

Le directeur général de la FAO a fait mention de son intervention dans le domaine de la formation aussi bien que dans les réformes des activités sucrières. Naturellement, affirme-t-il, tout ce qui touche aux idées pour développer les valeurs ajoutées et régler les problèmes techniques spécifiques. Jacques Diouf a qualifié Maurice d’un pays exemplaire qui offre des institutions très démocratiques et qui apporte une bonne gouvernance pour faire face aux besoins d’un monde à évolution constante. “C’est un pays qui est bien ancré dans l’exportation de la canne à sucre”, a-t-il déclaré. Et d’ajouter que le pays s’est aussi industrialisé et va davantage dans le développement des nouvelles technologies de l’information. Il a toutefois fait ressortir qu’il faut aussi progresser au niveau de l’agriculture.

En outre, Jacques Diouf a signé le livre des visiteurs au Château de Mon Plaisir. Le Chief Executive Officer du Jardin des Pamplemousses, Chetanand Ramgoolam, a souligné que “c’est un grand honneur et respect de recevoir le directeur général de FAO, Jacques Diouf au jardin de Pamplemousses. Sa visite va resserrer les liens entre la FAO et Maurice.”

Le directeur général de la FAO a assisté aux travaux du Regional Integration Forum organisé par la prestigieuse Mo Ibrahim Foundation, dimanche au centre des conférences Swami Vivekananda, à Pailles.

Il participera ce lundi matin à la clôture des programmes sur la relance du ‘Pig Sector’ (FAO/TCP Project 3203) à Petite Cannelle, au Domaine Les Pailles. Puis, il visitera le Centre de Recherches halieutiques d’Albion.

C’est la 3e visite que Jacques Diouf effectue chez nous. La première remonte à 1996 alors qu’il venait d’être élu au poste de directeur général de la FAO. En 2005, il a assisté à une conférence tenue à Maurice.

Reproduced from lematinal.com of 22 November 2010

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Download: The State of Food Insecurity in the World - Addressing food insecurity in protracted crises

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Sunday, November 21, 2010

Call for Papers: EFITA/WCCA July 11th and July 14th, 2011 Prague, Czech Republic

The European Federation for Information Technology in Agriculture, Food and the Environment conference and the World Congress on Computers in Agriculture will be held between July 11th and July 14th, 2011 in Prague, capital of the Czech Republic. The system will be opened for paper submission from 15th September 2010 until 7th January 2011.

Researchers are encouraged to submit their papers electronically via the web site as a MS Word file and to structure them as a standard scientific article. All papers will be fully refereed by a minimum of two specialized referees. Before final acceptance, all referees' comments will be considered. Accepted papers will be published in the 8th EFITA/WCCA proceedings and will be presented orally at the conference.

The papers introduce original scientific works, integrating both qualitative and quantitative research and will be published in English.

Accepted papers will be published by the Czech University of Life Sciences Prague in the conference proceedings and will be forwarded to Thomson Reuters for evaluation and eventual registration in the Web of Science database.

The editor reserves the right to return manuscripts that do not conform to the instructions for manuscript preparation and artwork instruction, as well as papers that do not fit the scope of the conference, prior to refereeing. The editor will only accept manuscripts submitted electronically. The receipt of manuscripts will be acknowledged. Please ensure that you are sending us the final and complete manuscript and that it is written in clear and concise English. We recommend that authors have the final version of their manuscript English language checked before submitting it to the conference. Authors are solely responsible for the factual accuracy of their papers. Contributions are received with the understanding that they comprise original, unpublished material and are not being submitted for publication elsewhere.

Papers accepted for publication will be peer-reviewed by leading experts in the field to ensure academic rigor and integrity, thus revisions to the script may be required. When a manuscript is returned for revision prior to final acceptance, the author must submit the revised version by the deadline after having received the referee's reports. Authors will receive proofs for approval before publication.

Detailed publication guidelines are available in the Guidelines for authors.


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Thursday, November 18, 2010

US$1.2 billion investment planned by a business group from Mauritius in Mozambican aquaculture

Maputo, Mozambique, 3 Nov – A business group from Mauritius has announced plans to invest US$1.2 billion in Mozambican aquafarming to produce 60,000 tonnes of fish in two Maputo province districts, reports the Maputo-based daily Noticias. Photo from http://ambhanoi.um.dk/

Citing Mozambican Fisheries Minister Victor Borges, the newspaper states that the country has the potential to produce 2 million tonnes of various kinds of fish using aquaculture processes, though current production is no more than a thousand tonnes, or 0.05 percent.

During a Mozambican government seminar to present the country’s potentials in the sector, Mauritius’s Fisheries Minister, Von-Mally Joseph, said his country aimed to make use of the investment incentives Mozambique was offering.

Borges acknowledged that national fishing production “is below its potential” in Mozambique, since the country only produces 150,000 tonnes per year, about 45 percent of what it is possible to produce.

The Mozambican government is undertaking a number of actions to increase production, specifically meant to attract more investment with a view to reaching other markets and not just the European Union, currently the main destination of national fish exports.

The fishery sector currently accounts for 2 percent of the country’s gross domestic product (GDP) and 4 percent of its overall exports. Fish is the fifth most commercialised product abroad.

The government recently approved the Fisheries Master Plan for 2010-2019, whose immediate aim is to enhance the sector’s contribution towards improving the population’s food and nutritional security.

The plan also aims to improve the quality of life of artisanal fishermen and small-scale fish farmers, besides increasing the sector’s contribution to the country’s economic and social development and a better balance of payments. (macauhub)
 


Source: Agritrade Fisheries News Alert - 17 November 2010
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Monday, November 15, 2010

INDIA: Soon, farmers to detect crop disease via mobile

We are relaying this article from India to make you aware of the potential use of mobile phone technology. Market Information System and Agricultural Commodity Payment System are two services that have been already implemented elsewhere.


The new application, known as “mKrishi” will be available to farmers through mobile phones network throughout the country


Chandigarh: Farmers all across the nation need not worry about pests and crop diseases as they will soon be able to get all this information on their mobile phones.
The pilot project will be implemented in a few villages of Punjab and Uttar Pradesh initially. Agricultural experts in some of the villages are already gathering information from a wireless sensor network spread across the farms, wherein based on soil, weather, rainfall and other parameters diseases in crops are being detected.
The new application, known as “mKrishi”, to detect the crop diseases has been developed by Tata Consultancy Services. “It took us more than two years to develop this mobile phone application. This sensing technology will be available to farmers through mobile phones network throughout the country,” TCS scientist Dr Bhushan Jagyasi said.
To cost Rs 100 a month, the service providers will provide application to high-end phone users; TCS will support the low-end users. Once the application is loaded on the phone, agriculture experts will send a set of questions to farmers related to symptoms of diseases in the local language.
“Farmers will respond in yes or no. Answers will help experts in detecting the crop disease, who will suggest remedial measures to farmers individually. Also, farmers can receive the images showing a disease- affected crop,” added Dr Jagyasi.
In Punjab, experts at Punjab Agricultural University will help the farmers through this application. To begin with, this season farmers will get information regarding the late Bligh disease afflicting the potato crop. This application will later be extended to detect other diseases.
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INDIA: Law to ensure quality seeds for farmers soon

We came across this article on the igovernment.in web portal. Can any of our readers inform us whether we have anything similar in Mauritius? And if so, where can we get a copy of the Act?

The government on Wednesday approved moving additional amendments to the Seeds Bill, 2004 to regulate the quality of seeds and planting materials (

New Delhi: The Union cabinet on Wednesday approved moving additional amendments to the Seeds Bill, 2004 to ensure availability of quality seeds to farmers.

"The legislation will regulate the quality of seeds and planting materials to ensure availability of quality seeds to farmers; to protect the rights of farmers; curb the sale of spurious and poor quality seeds; increase private participation in seed production, distribution, and liberalise imports of seeds and planting materials," the Agriculture Ministry said in a statement.

The additional amendments also provide for nomination of chairpersons for Protection of Plant Varieties and Farmers Rights Authority and National Bio-diversity Authority to the Central Seed Committee, submission of seed-related periodic returns to the state government and enhancement in penalties of offences.

Provisions of labelling, seed health, expected performance and compensation to farmers have been included to ensure public accountability, reports IANS.

"The provisions will be implemented only after the Bill becomes an Act," the statement said.

The legislation is likely to be taken up during the upcoming Winter Session of Parliament commencing November 9.

According to the Agriculture Ministry, the efficacy of other agricultural inputs such as fertilisers, pesticides and irrigation is largely determined by the quality of seed. Seed quality accounts for 20-25 per cent of productivity.

"It is, therefore, important to ensure the quality of seed."

"A need has arisen for upgrading the seed quality regime by enacting a new legislation in view of emergence of new technologies; India's integration at the international level through World Trade Organisation (WTO), and other international organisations/treaties and increasing scope of export/import of seeds and planting materials," the Ministry said.
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Sunday, November 14, 2010

Conflict Resolution: An Art and a science to be Mastered

So the ex-planters of Riche Terre are having recourse to a hunger strike to resolve a conflict regarding due compensation. You can read more on this on the Le Matinal Website here.

But, whether we are from the agricultural sector or not, if we have not already faced such situations, we might sooner of later be facing similar challenges.

So what do we do then?
This is where the theory / concept and application of 'conflict resolution' comes in.

We are reproducing below part of an article on the subject and you can find the link below to read more on it and on related subjects.


Bear in mind that conflict resolution is no peace of cake. It is an Art and a Science that needs to be mastered. We hope you enjoy the reading and perhaps try to reflect on the current conflicts you are facing and think how you would have tried to resolve it.


We would appreciate your valuable comments on 'conflict resolution'.

Resolving conflict rationally and effectively

In many cases, conflict in the workplace just seems to be a fact of life. We've all seen situations where different people with different goals and needs have come into conflict. And we've all seen the often-intense personal animosity that can result.

The fact that conflict exists, however, is not necessarily a bad thing: As long as it is resolved effectively, it can lead to personal and professional growth.

In many cases, effective conflict resolution skills can make the difference between positive and negative outcomes.

The good news is that by resolving conflict successfully, you can solve many of the problems that it has brought to the surface, as well as getting benefits that you might not at first expect:

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Friday, November 12, 2010

Chauves-souris : Les planteurs ne paieront que 25 % pour les filets de protection des arbres fruitiers

Admin's note: This scheme is already in place. You (anyone: residential or planter) need to complete formalities / apply at the nearest AREU Crop Extension Office (business days: Mon., Tues. & Fri. from 13:00 - 16:00). This scheme is already a successful one and we congratulate the authorities concerned for the initiative. Importers are already out of stock but are making their level best to replenish stock in the shortest delay.

Les cultivateurs de fruits paieront 25% seulement du coût d’un filet de protection anti-chauves-souris. Le Conseil des ministres a donné son aval, vendredi 1er octobre pour que ce programme soit étendu à la saison 2010.

Ce plan d’aide a été lancé en 2009 dans le cadre d’une campagne nationale pour la protection contre les chauves-souris grosses consommatrices de fruits. Cette mesure concerne plus particulièrement à la récolte de letchis qui commence dans quelques semaines.

Chaque planteur pourra acquérir une dizaine de ces filets qui viennent couvrir la partie supérieure des arbres fruitiers protégeant ainsi les fruits contre la voracité des volatiles. La récolte fruitière de 2008 en avait énormément souffert. Le ministère de l’Agro-industrie et de la Sécurité alimentaire avait lancé, l’année suivante, lancé une vaste campagne de protection.

D’autre part, ce ministère, en collaboration avec le National Parks Conservation Service, entamera, incessamment, un recensement de la population des chauves-souris à Maurice. Ces donnés serviront, par la suite, à contrôler sa population par rapport à un seuil de tolérance.

La population de la chauve-souris, le Pteropus niger, a beaucoup augmenté ces dernières années, atteignant, selon certaines estimations, quelque 30 000 spécimens. Le Pteropus niger,qui vit principalement dans les montagnes et les caves, n''a aucun prédateur connu à Maurice.

Le Pteropus niger est endémique et elle est protégée par la loi. Toute personne trouvée coupable d'avoir abattu une chauve-souris est passible d'un peine d'emprisonnement maximale de cinq ans et d'une amende n’excédant pas Rs 100 000.
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:: Blog Admin Note :: Article reproduced from lexpress.mu of 02.10.10 ::

Des grains secs bientôt cultivés sur une grande échelle

This is an article that we missed... It is of September 2010... It is still a good read and news relevant for stakeholders... (Photo from http: // www. topnews. in/)

DANS une station de l’ Agricultural Research and Extension Unit ( Areu), à Réduit, des variétés de gros pois sont arrivées à maturité. Ne reste plus que la cueillette. En fait, 45 variétés de gros pois, de même qu’une vingtaine de variétés de soja, des petits pois et des haricots « pales » sont cultivés dans plusieurs endroits de l’île, dont Richelieu. Et, l’Areu songe sérieusement à les cultiver sur une grande échelle… Maurice réunit, en effet, les conditions nécessaires à la production de ces types de grains.

A commencer par un climat propice pour leur culture. Sans compter que la fl ambée des prix sur le marché mondial n’est pas sans encourager l’Areu à accélérer ses recherches. Car, à environ Rs 35 le demi- kilo d’haricot rouge et Rs 22 un sachet de demi- kilo de gros pois, il ne serait plus aussi préférable, fi nancièrement, de les importer... Selon Mala Gungadurdoss, Principal Research Officer à l’Areu, les résultats des plantations locales de grains ont été très positifs. « Il faut juste étudier comment rendre la culture de ces grains profitable tout en dépensant moins. » La maind’oeuvre coûte, en effet, cher . C’est ainsi que pour la plantation à grande échelle, il faudra compter sur la mécanisation, estime notre interlocutrice. L’industrie sucrière, à titre d’exemple, pourrait en faire des interline corps , c’est- à- dire les cultiver entre deux rangées de canne à sucre.

Anita Awotarowa, chercheuse qui travaille sur les gros pois – qui sont uniquement cultivés dans les pépinières de l’Areu –, espère pouvoir développer une variété propre à Maurice qui aura un rendement meilleur. « Il y a aussi la culture de soya qui donne des résultats probants. » Et, « avec le nombre de végétariens chez nous, cette culture a un avenir » , soutient- elle. A noter que les 22 types de soja cultivés sont appropriés pour la consommation.

Concernant les haricots, les planteurs qui participent aux recherches avec l’Areu, sont encouragés à produire des grains.

« Les ‘ haricots pales’ ne sont pas complètement secs. D’ailleurs, grâce aux facilités offertes, je peux dire que les planteurs sont intéressés » , affi rme Vanishta Cantiah, une autre chercheuse.

D’autant plus que l’Areu prévoit des avantages pour les cultivateurs et consommateurs si la plantation est faite à grande échelle. C’est ainsi que les grains consommés à moitié sec – ou verts dans le cas des gros pois – auraient meilleur goût avec un temps de cuisson limité. Les planteurs peuvent également gagner su r le poids de leurs produits.


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:: Blog Admin Note :: Article reproduced from lexpress.mu of 21.09.10 ::

Saturday, November 6, 2010

Official video of the International Year of Biodiversity 2010

Thanks to Nawsheen for sharing...

Is the world running out of fish: Build a sustainable fishing industry

How can we build a sustainable fishing industry that maintains healthy fish stocks and valued employment? OECD analyst Saba Khwaja talks about OECD work that helps governments formulate effective fisheries policies, while fish seller Antoine Mallaird tells us about the changes he's seen in his business.