Thursday, April 11, 2013

Follow discussions at the National Agricultural Youth Policy Dialogue in Mauritius


The Food, Agriculture and Natural Resources Policy Analysis Network (FANRPAN) and the Faculty of Agriculture (University of Mauritius), are convening a National Agricultural Youth Policy Dialogue on the 12 April, 2013 at the University of Mauritius, Reduit. The objective of the dialogue is to deliberate on the issues of youth involvement in agricultural policy processesand especially those policies aimed at mainstreaming youth. A number of studies point to the fact that youth do not necessarily play a major role in the development of policies.
In November 2011, FANRPAN in collaboration with CTA commissioned 6 case studies in Malawi, Mauritius, Swaziland, South Africa, Tanzania and Zimbabwe. These case studies focusing on current and emerging youth policies and initiatives with a special focus on links to agriculture in the respective countries were conducted by youth representatives from these countries. The final report of these case studies was presented at the FANRPAN 2012 High Level Food Security Policy Dialogue in Tanzania, 3-7 September 2012.

As a follow-up to this initiative, FANRPAN is now convening National Agricultural Youth Policy Dialogues in these 6 countries to share the findings of the case study for each country with National stakeholders. On 12th April 2013, the findings of Mauritius case study will be presented. The dialogue will culminate into a policy brief that the FANRPAN focal point will consolidate and communicate to the Minister of Agriculture, including other relevant departments and stakeholders. The dialogue is expected to bring together representatives of youth bodies, businesses, policy makers, and law makers alike from various industries.

The discussions at the National Agricultural Youth Policy Dialogue will be tweeted live as from 09:00 (GMT+4) on 12 April 2013 with Hashtag: #YouthAgDialogueMu. Follow the dialogue and spread the news!

Wednesday, April 3, 2013

L'attaque des cochenilles

​​​​​De nouveaux parasites ont fait leur apparition dans l’île : trois types de cochenilles originaires d’Amérique centrale et d’Afrique qui font des ravages depuis le début de l’année.

«Sa manier pe ale la, enn pie papay pou nepli ena dan Albion. » Rishi, jardinierdans ce village de lacôte Ouest, ne croit pas sibien dire. Comme d’autreshabitants de cette localité,depuis le début de l’annéeil assiste, impuissant, à uneinfestation virulente de cochenillesqui a causé la destructiondes papayers. Elless’attaquent aussi aux frangipaniers,communémentappelés gouleyti, aux arbresfruitiers et aux plants d’hibiscus,entre autres. L’infestationest d’autant plus favoriséepar les fortes pluies etles grosses températures quiprévalent actuellement.

Au 14 février, trois types de cochenilles ont été répertoriés sur le territoire par le service entomologique du ministère de l’Agro-industrie. Des échantillons ont été envoyés au CABI GlobalPlant Clinic, un laboratoire britannique, pour les authentifier. De ce que l’on sait, le premier type, le Phenacoccussolenopsis, est originaire d’Amérique centrale. Considéré comme une menace pour les plants de coton, il est présent à Maurice depuis janvier 2011.


Le second type, le Paracoccus marginatus, égalementd’Amérique Centrale, a étésignalé à La Réunion. Aussiappelé cochenille farineuse,ce tueur d’hibiscus et de papayersa traversé le Mexique,les Antilles et la Floride, auxEtats-Unis, avant de fairedes ravages à l’île soeur, àl’Etang-Salé, en février 2010.La troisième espèce, le Planococcus kenyae, nous vientd’Afrique. Découverte en1923 au Kenya, elle affectesurtout les plants de café. Elle attaque aussi les plantsornementaux et autres légumes.Toutefois, pour lesexperts du ministère del’Agro-industrie, c’est un« emerging pest » en Afriqueet sur lequel il existe peud’informations.

Un aspect « moisi » 

D’Albion, ces cochenilles ont commencé à gagner d’autres régions de Maurice, selon l’Agricultural Research and Extension Unit (AREU). En passant par Petite-Rivière, Pointe-aux-Sables et Pailles, elles auraient déjà atteint le Nord. Par manque d’information, ces cochenilles sont actuellement prises pour le white fly, soit le pou blanc. Ce qui résulte dans l’épandage d’insecticides qui n’ont toutefois pas l’effet escompté sur ces parasites. Or, pour endiguer l’épidémie, l’AREU recommande l’utilisation de l’Actara, du Confi dor et du Karate, comme c’est le cas à la Pépinière de Gros-Cailloux, situé près d’Albion.

« L’attaque a été plus virulente en début d’année. On a dû couper nos papayers. A terme, cela va poser un vrai problème car ces insectes vont attaquer toutes les plantes », explique le General Manager de la pépinière, ChristopherBlackburn.

La cochenille affecte une plante de manière suivante : elle suce la sève, laissant la plante exsangue. Ayant réduit la photosynthèse, elle favorise la propagation d’un virus qui donne à la plante un aspect noirâtre, comme si celle-ci était atteinte de moisissure. Cet effet est encore plus visible sur les frangipaniers, les premiers symptômes étant les feuilles atrophiées. La première chose à faire est alors d’enlever toutes les feuilles sur l’arbre et de les brûler.

D’autres espèces touchées

Dans le cas des hibiscus, les fleurs n’éclosent plus, les boutons ayant été dévorés par les cochenilles. Comme pour toute autre plante atteinte, il faut alors asperger le plant d’hibiscus avec une eau savonneuse ou de l’alcool, voire de l’huile, en guise de mesure préventive, l’ennemi naturel, la coccinelle, ne faisant visiblement pas le poids face à ces parasites venus d’ailleurs.

Une enquête a été ouverte pour déterminer comment ces parasites sont entrés sur le territoire. Tout porte cependant à croire qu’ils ont été introduits par l’importation de fruits, de légumes ou de plants ornementaux. La même explication est avancée concernant le TomatoYellow Leaf Curl Virus qui touche la pomme d’amour depuis décembre 2011, surtout dans le Nord. Comme son nom l’indique, ce virus provoque le jaunissement des feuilles du plant. Les feuilles sont rabougries et des traces noirâtres autour d’un halo blanc sont visibles sur les fruits.

Afin d’éviter que cette maladie ne perdure, l’AREU procédera au traitement des graines de pomme d’amour à l’eau chaude avant de les remettre aux planteurs. Le « piment cari », également touché par un parasite, est introuvable sur le marché. « Nepli pegagne », se désole Isoop Soobadar, président de la Market Traders Association.

A La Réunion, les études menées à l’Etang-Salé après la découverte du Paracoccusmarginatus ont démontré que cette cochenille s’attaque également à l’ananas, l’aubergine, l’avocatier, la patate douce, le poivron et au maïs.
​​​​
Source: lexpress.mu 03.04.13

THANK YOU!


WE THANK ALL MAISNET MEMBERS WHO DIRECTLY OR INDIRECTLY HAVE BEEN INVOLVED IN HELPING THOSE AFFECTED BY BLACK SATURDAY 30-03-13.

THANK YOU!

Monday, April 1, 2013

WE MOURN AND WE NEED TO HELP!


MAISNET PRESENTS ITS DEEPEST SYMPATHY TO FAMILIES WHO HAVE LOST THEIR KINS AND ALL THOSE WHO HAVE BEEN AFFECTED BY THE BLACK FRIDAY 30-03-13 FLOODS.

MAISNET INVITE ALL ITS MEMBERS TO BE OF HELP TO FAMILIES IN DIFFICULTY.

THE PEOPLE AFFECTED NEED URGENTLY
(I) FOOD, 
(II) WATER AND 
(III) CLOTHING. 

WE HUMBLY REQUEST YOU TO LIAISE WITH YOUR VILLAGE COUNCILS, MUNICIPAL COUNCILS AND NGOs LIKE LA CROIX ROUGE TO SEND YOUR DONATIONS.

ACT! YOU CAN MAKE A DIFFERENCE!